Rapport Annuel
France
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Voir aussi : Mentors
Qui sont-ils/elles? Les 50 jeunes accompagné·e·s par DUO à Paris en 2020 ont en commun d’être âgé·e·s de 18 à 33 ans et d’être issus de la diversité ou réfugiés. Ils/elles présentent tou·te·s des profils et des parcours très singuliers, mais il est intéressant d’observer certaines grandes tendances.
0% Master 0% 1er cycle de l’enseignement supérieur (BTS, DUT, Licence)
0% Baccalauréat
0% sans diplôme dont la moitié ont un diplôme > Baccalauréat dans leur pays d’origine
Plus de la moitié des jeunes nés à l’étranger participant au programme bénéficient d’une protection internationale (réfugié•e•s ou bénéficiaires de la protection subsidiaire). Les autres sont venus en France soit via la procédure de regroupement familial (21%), soit avec un visa étudiant étranger diplômé en recherche d’emploi (22%).
Les résultats globaux du programme de mentorat pour les jeunes sont probants : fin 2020, près de 3 jeunes sur 4 ont trouvé un emploi, un stage ou une formation dans les 12 mois qui suivent leur accompagnement, dont un emploi pour 1 jeune sur 2 (ces statistiques incluent les résultats de DUO Belgique, les activités de DUO en France n’ayant démarrées que fin 2019). Quelles que soient les caractéristiques de genre, de niveau d’éducation ou de raison du séjour des jeunes participants au programme, l’accompagnement individualisé augmente significativement leur accès à l’emploi et leur autonomie à participer activement à la vie sociale, culturelle et économique de leur ville. Au-delà des résultats enthousiasmants en termes d’emploi, le mentorat permet également aux jeunes de développer de nombreuses aptitudes, améliorant leur situation sur le chemin de l’emploi et, plus globalement, leur bien-être:
Dans le contexte de la crise Covid, le projet leur a également permis d’enrayer les difficultés accrues auxquelles ils/elles sont confronté·e·s:
“DUO m'a permis de voir l'espoir là où je voyais l'échec, et de me rendre compte que le monde est rempli de possibilités. Ça m'a permis de reprendre des études après 5 ans hors du circuit scolaire, et de me projeter dans le long terme. Merci!”
